Prochaines messes
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Nordhouse - Messe du Dimanche Avent III
dim 14 décembre 2025 9h00 - 10h00
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Ichtratzheim - Messe du Dimanche
dim 14 décembre 2025 10h30 - 11h30
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Hipsheim - Messe de Semaine
mar 16 décembre 2025 9h30 - 10h30
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Limersheim - Messe de Semaine
mer 17 décembre 2025 9h30 - 10h30
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Hindisheim - Messe de Semaine
jeu 18 décembre 2025 18h30 - 19h30
Feuilles de semaine
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Feuille de semaine n°165
La guérison, le miracle, n’est pas un acte magique. La guérison s’enracine d’abord dans la reconnaissance de sa propre maladie, de ses limites, de son besoin d’aide. Ensuite, elle exige la foi cette foi qui anticipe le salut. Comme Israël célèbre en Égypte le repas d’action de grâces pour sa libération encore à venir, lors de l’exode, ainsi le Christ célèbre la dernière Cène, action de grâce pour l’œuvre de Dieu, avant même de passer par la mort. De la même manière aussi, chaque fois que nous célébrons l’Eucharistie, nous rendons grâce pour notre propre résurrection alors que nous avons encore à vivre le passage par la mort. La foi nous transporte déjà au terme. La guérison débute lorsque l’on commence à obéir, à vivre de l’Évangile, et non plus à nous-mêmes et à nos habitudes. L’histoire pourrait finir là. Or, nous dit le texte, « l’un d’eux, voyant qu’il était guéri, s’en retourne vers Jésus en glorifiant Dieu à pleine voix ».
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Feuille de semaine n°164
La foi véritable est capable de transformer le monde, « de planter des arbres dans la mer », explique Jésus à ses disciples. Patience, fidélité, foi, confiance : autant de variations autour d’une même attitude de fond qui nous est demandée. « Augmente en nous la foi » disent les apôtres. Quelle foi ne faut-il pas entretenir en effet, pour continuer d’entreprendre l’évangélisation comme un service à remplir envers et contre tout ? Pour garder dans le coeur une image de Dieu qui reflète sa bonté, sa tendresse pour le monde, alors qu’on le pense frappé d’indifférence ? Qui nous donnera la graine de moutarde qui changera notre regard ?
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Feuille de semaine n°163
Ah ! si seulement Jésus nous avait présenté un mauvais riche, qui maltraite le pauvre, nous aurions pu respirer. La parabole ne nous aurait pas concernés. La richesse n’est pas mauvaise, mais elle risque d’aveugler Jésus ne reproche nullement d’être riche, mais bien d’être aveugle et indifférent à la misère du pauvre qui gît à sa porte. Etre riche n’est ni une tare ni un vice honteux. Mais il y a une bonne et une mauvaise manières de l’être.
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Feuille de semaine n°162
Lorsque le prophète Amos se manifesta, il y avait dans le pays abondance, splendeur et orgueil. Les riches vivaient dans l’opulence. Au même moment, la justice faisait défaut dans le pays. Les pauvres étaient affligés, exploités et même vendus en esclavage, et les juges étaient corrompus. C'est dans cette atmosphère qu'Amos rugit les paroles que nous venons de lire: « Écoutez ceci, vous qui écrasez le pauvre pour anéantir les humbles du pays, car vous dites: «Nous pourrons acheter le malheureux pour un peu d'argent, le pauvre pour une paire de sandales.» Le Seigneur le jure par la Fierté d'Israël: « Non, jamais je n'oublierai aucun de leurs méfaits ». Jésus n'a certainement pas l’intention de nous enseigner comment tricher avec le fisc ! En réalité la phrase qui résume tout est la dernière : « Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon ». Luc en effet donne à l'argent un nom propre « Mammon », pour bien montrer que si l'on devient esclave de l'argent, celui-ci devient notre maître et nous domine comme un maître humain le ferait.
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Feuille de semaine n°161
Nous célébrons ce dimanche la fête de l'exaltation de la Sainte Croix. Cette fête trouve ses origines dans une tradition très ancienne : Les reliques de la vraie croix auraient été retrouvées par Sainte Hélène (249-329), mère de l’empereur Constantin, lors d’un pèlerinage en Palestine, qu’elle a entrepris en 326. Voici comment Saint Ambroise rapporte sa découverte : « Elle commença par visiter les lieux saints ; l’Esprit lui souffla de chercher le bois de la croix. Elle s’approcha du Golgotha et dit : “Voici le lieu du combat ; où est la victoire ? Je cherche l’étendard du salut et ne le vois pas”. Elle creuse donc le sol, en rejette au loin les décombres. Voici qu’elle trouve pêle-mêle trois gibets sur lesquels la ruine s’était abattue et que l’ennemi avait cachés. Mais le triomphe du Christ peut-il rester dans l’oubli ? Troublée, Hélène hésite, elle hésite comme une femme. Mue par l’Esprit Saint, elle se rappelle alors que deux larrons furent crucifiés avec le Seigneur. Elle cherche donc la croix du milieu. Mais, peut-être, dans la chute, ont-elles été confondues et interverties ? Elle revient à la lecture de l’Evangile et voit que la croix du milieu portait l’inscription : “Jésus de Nazareth, Roi des Juifs”. Par là fut terminée la démonstration de la vérité et, grâce au titre, fut reconnue la croix du salut». La Sainte impératrice aurait par la même occasion retrouvé les clous par lesquels Notre-Seigneur avait été attaché. Sainte Hélène fit construire une basilique englobant le Calvaire et le Saint Sépulcre ; elle fit également ériger celles du Mont des Oliviers et de Bethléem.
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Feuille de semaine n°159
Général : Saint Ludan :





